RÉACTIONS, MAILS DE SPECTATEURS

– La vie est vraiment bien faite. Moi qui déteste les voyages, qui n’ai pas pris l’avion depuis 44 ans, ni le bateau, qui ne monte pas dans les ascenseurs, j’ai assisté au spectacle de Françoise, qui a fait un périple merveilleux avec ses deux bras et ses deux jambes.

Lorsqu’elle le raconte sur scène, avec brio et humour, je revis son voyage. J’éprouve les mêmes peurs et les mêmes joies, mais sans les inconvénients. Ces réactions, je ne suis pas le seul à les ressentir : le public est aussi enthousiaste que moi.

J’aime tellement cette nouvelle forme de narration ! Je vous invite tous à embarquer dans l’aventure avec Françoise Dasque.

MARC JOLIVET

– Face à un spectacle comme celui de Françoise Dasque, il y a tant à dire que ma recommandation number one sera :

« Allez-y, courez, foncez, toute affaires cessantes ».
Ce déferlement d’humanité de sagesse amusée de tranches de vie, de relativisation des divers destins croisés et d’admiration justifiée pour le courage et la dignité des gens rencontrés est exceptionnel.
Elle a un style littéraire intelligent et direct, ce qui lui permet des apartés hilarants.
Et, surtout, quelle artiste! Si ça passe par chez vous, allez-y sans faute.
MICHEL

– Merci Françoise. Tu nous as fait voyager. Nous avons, eu froid avec toi sous les pluies incessantes, peiné dans les chemins difficiles, apprécié les paysages, eu chaud dans les trains, gravi les marches des monastères, apprécié la gentillesse des personnes qui t’ont accueillie, mais tremblé dans tes rencontres suspicieuses…
En bref, tu nous as fait partager tes bons et tes mauvais moments et je t’en remercie.
Il aurait fallu une carte géante en décor pour nous permettre de mieux suivre ton chemin…
Tu as eu un bon ange gardien et je comprends que tu en soies revenue plus riche en émotions, en souvenirs, en relationnel.
Poursuis ton chemin avec autant de joie de vivre et encore bravo.

BRIGITTE

– Bonjour Françoise. Tout d’abord, je ne te connaissais pas, mais permets-moi le tutoiement. Ce n’est pas familiarité incongrue. L’un et l’autre sommes comédiens, et la tradition veut… Mais ce n’est pas suffisant. Compte davantage, la sympathie et la proximité que tu as suscitées auprès de ton public- dont moi – à ta première à Mirabel. Ceci engendre cela.

Cette première, tu l’as réussie avec brio. J’ai été très impressionné par ta prestation. En premier lieu par l’énergie incroyable – maintenue sans relâche !- qui t’habite. Étant du métier, je mesure ce que représente physiquement pareille intensité.

Je t’ai « comparée » à De Funès… Pardonne-moi cet amalgame, tout le monde n’aime pas cet acteur qui ne fait pas dans la nuance !! Et tu es beaucoup plus féminine et séduisante que lui. Je voulais simplement dire que tu avais en commun avec lui cette qualité de t’investir entièrement, avec une force paroxystique dans chaque réplique, à chaque seconde de ton jeu. Quel exploit !

Cette générosité de jeu crée une présence qui de bout en bout, tient le public en haleine sans décrochage possible. Cette belle présence que le public a perçue et reçue avec bonheur, tu l’as sentie au travers de l’écoute, intense et continue, ainsi que des réactions et applaudissements…

J’ai apprécié aussi l’option que tu as choisie : exprimer prioritairement tes ressentis subjectifs et très personnels de voyageuse. Notamment concernant l’accueil que les divers pays, gens, montagnes, climats, moyens de locomotion, te réservaient.

« De l’hospitalité » – thème récurrent – pourrait être le tire de ton spectacle. Ce parti-pris, où tu te dis toi d’abord, donne au récit de ce voyage (qui n’en est plus un!) l’émotion indispensable que requiert le théâtre.

Séduisant aussi, ton humour. Tu privilégies une approche légère et amusée des événements rencontrés et … subis. Comme si cet itinéraire prodigieux n’était qu’un jeu plaisant et facile ! Rigolo à vivre et à conter. Jamais de dramatisation où tu apparaîtrais en difficulté profonde, en souffrance.

Et pourtant, ce ne sont pas les difficultés qui on dû manquer, avec leur poids d’angoisse et de bobos…

Cette joie de vivre (communicative!), cet optimisme existentiel tenace, font le charme et l’agrément de ce parcours, si âpre et tumultueux qu’il ait sûrement été parfois dans la réalité.

J’aime également ta réflexion au sujet de l’indispensable mariage qu’il faut faire entre la défiance et la confiance, la peur et l’audace pour assumer l’imprévu et les dangers d’une telle entreprise. Sans cette ambiguïté de tous les instants, rien ne se peut entreprendre, dis-tu. Juste ! Et courageux.

Bref, tu es une sacrée bonne femme d’avoir osé, fait et réussi cette « promenade »… et de nous la conter si généreusement et plaisamment.

Merci pour tout ce que tu es, et nous dévoiles de toi. Merci Françoise pour ce beau cadeau d’un soir. Je te souhaite de le renouveler avec tout le succès qu’il a obtenu à cette première. Et mérite. Bravo à toi ! Et à Zarina aussi pour sa collaboration.

FRANÇOIS

– Merci du tuyau… Ce one-woman-show de ton amie Françoise !!! c’est formidable!!!!!!! Le show, et son voyage ! Quelle nana!  Nous sommes allés à Vallon dimanche… nous sommes emballés! Je le conseille à des connaissances… !

COLETTE

– Je fus très touchée par le fil que tu as tissé au long de ce partage chorégraphié. Tissu de réalité entre nos mondes, qui, passant par le fil clairvoyant et perméable de ton cœur, m’a relié à nouveau avec force au cœur vibrant de notre humanité.

J’ai parcouru le monde, bien sûr avec mes couleurs, et j’aurais été bien incapable, même si j’écrivais toujours au quotidien, d’y apposer cette justesse de regard direct, si proche, authentique, si là, si vivant de l’instant saisi et imprimé. Peut-être, me dis-je, cette proximité du jet, comme une esquisse japonaise, est-elle si forte de la proximité qu’induit la marche. Oui, sans doute, et peu importe après tout, c’est tout cru, là 🙂

Je fus déjà, de manière artistique, touchée de la beauté et « vivance » de la mise en scène, dans laquelle tout cet esprit put être révélé de manière si lumineuse.

En tant que personnage principal, acteur – c’est le moins que l’on puisse dire… hi!hi! – j’ai été touchée par ta qualité de présence, qui donnait le volume de ces instants partagés.

Enfin , en tant que personne, je fus heureuse et touchée de sentir un moteur de vie si puissant, moteur ayant initié le voyage et surtout sa forme, et moteur du cœur qui l’anime, qui s’est « imbibé » durant ces 20 mois de tout ce que l’instant lui a donné à vivre. Cœur qui s’est ouvert en proportion de ce qui s’y est imprégné. Oui je suis touchée de cela, et du fil que ce récipient plein a pris pour le diffuser.

Les termes sont choisis, le ton poétique, agréable à l’oreille. Chaque visage qui apparaît à nous s’insinue comme un parfum d’humanité.

Je te remercie de ce partage, de cette création-voyage inclus- qui m’a permis de le recevoir dans son essence.

Pour les endroits où je suis allée personnellement, j’y étais totalement. L’Inde m’a fait tellement rire! Les chiottes chinoises aussi! J’ai voyagé aussi, même dans les endroits inconnus de moi.

J’ai pleuré, dans la voiture, en repartant. Je ne sais pas encore totalement pourquoi, et pourquoi je le fais là encore sur cet instant…

Cela vient peut-être aussi du fait que cet instant présent est celui de la concrétisation d’une partie de ce que j’ai reçu dans ces voyages qui sont déjà loin maintenant (et pourtant je n’ai pas loin de ton âge, 49 ans… L’indication de cette impulsion des 50 m’a fait sourire évidemment…).

Concrétisation de tous les silences de mon cœur aussi. Mais ça me réveillait le feu d’action, après le spectacle, et le chaud, profond sentiment, que nous allions définitivement tous dans le même sens, et que nous ne sommes pas seuls…

Bref! Voilà! Un petit voyage, toujours présent, de cette impermanence. Je suis très heureuse d’avoir eu l’opportunité de te partager cela.

PASCALE

– Nous sommes allés voir ton amie Françoise hier à Joyeuse : c’est vraiment formidable ! Quelle pêche!!!
Nous qui sommes allés dans pas mal de pays qu’elle nomme, nous en avons apprécié l’analyse. C’est ce que nous avions ressenti aussi !

MARIE-THÉRÈSE

– A mes amis : Je vous recommande chaleureusement ce spectacle que j’ai vu avec bonheur et délice. Il est joué par Françoise Dasque, qui relate son voyage à pied d’Ardèche jusqu’en Chine. L’aventure a été palpitante et pleine de rebondissements.

Mis en scène avec beaucoup d’humour, de finesse, il vous fera découvrir la vie des gens d’ailleurs, et fera peut-être sauter quelques préjugés…

CATHERINE

COMPTE-RENDUS DE SPECTATEURS DU FESTIVAL ESCALES VOYAGEUSES

THEATRE DE LA LUNA, AVIGNON 20/03/2015

– 2 bras 2 jambes , une énergie communicative.
Dès l’entrée en scène de Françoise, nous sommes entraînés dans son périple humain , sportif.
Le texte est bien écrit, riche sans être pédant, suscite la réflexion, secoue quelques idées reçues .
On rit beaucoup, on est émus aussi.
Bref, la magie du théâtre.
J’ai vraiment beaucoup aimé!
Avec Françoise, ça marche.
Merci pour ce bon moment.

MARIE-THÉ

– Il n’y a pas que le sacro-saint 52 minutes pour communiquer sur le voyage et la rencontre et c’est bien de chercher d’autres formes d’expression…

Cette présentation sous forme d’un spectacle personnel est une véritable innovation et dans ce cas précis un pari parfaitement tenu et surtout parfaitement réussi.

Il y a là une vraie création et un témoignage riche…

PAUL

– Si 2 jambes permettent de partir loin et de voyager aux confins du monde, 2 bras permettent d’étreindre ce monde.

« 2 bras 2 jambes » est un spectacle de théâtre mais pas que, c’est d’abord et surtout un spectacle de voyageurs raconté par une voyageuse au long cours. Tout au long du spectacle offert, Françoise a véritablement enchanté le public du festival Escales Voyageuses d’Avignon en racontant ses expériences, au gré de ses rencontres heureuses ou malheureuses, mais toujours accompagnées de beaucoup d’humour. Le public a été enchanté par cette nouvelle forme de partage du voyage.

« 2 bras 2 jambes » un grand moment de voyage pour petits et grands. A programmer sans modération.

CLAUDE

– Un spectacle plein de fraîcheur sur les péripéties d’un voyage en sac à dos sur pied, de 20 mois autour du monde, mis en scène avec les rencontres. On s’y croirait : la vieille femme turque, le voyage en train en Inde, les mésaventures…

La comédienne, très expressive nous présente un voyage sur scène, comme elle l’a vécu : vrai, riche et léger. Je le recommande, car c’est un spectacle très original dans sa construction et dans le jeu de scène.

CLAIRE

– C’est intriguée que je suis allée assister au spectacle « 2 bras, 2 jambes : 4 raisons d’aller au bout du monde « . Un voyage, n’est-ce pas des rencontres, du partage, des émotions, n’est-ce pas apprendre des autres, découvrir d’autres cultures, histoires, villes, paysages … Alors comment une personne, à elle seule, peut réussir à captiver un public en mettant en scène son voyage ?

C’est conquise que j’ai quitté la salle, car le spectacle de Françoise Dasque nous fait tout vivre à la fois. Elle nous transporte avec une incroyable énergie dans son périple. Avec beaucoup d’humour et de réalisme, elle endosse tour à tour son propre personnage, celui de ses hôtes ou des personnes rencontrées. Elle témoigne de sujets tels que l’approche culturelle de l’hospitalité, mais aussi de sujets de sociétés, tels que la condition de vie des femmes en Iran. Un spectacle qui s’adresse à tous, voyageurs ou pas.

CLAUDE

– Françoise nous dévoile avec simplicité à travers son spectacle, un  voyage empreint de courage, d’énergie, de fraîcheur et de liberté, tout cela avec une bonne dose d’humour … Les voyageurs se reconnaîtront dans beaucoup de ces situations et pour ceux qui n’oseraient pas encore se lancer dans l’aventure sac à dos, c’est une invitation à le faire !

MYRIAM

– En quelques minutes Françoise Dasque nous plonge dans un voyage où l’humour côtoie l’émotion. Super spectacle où en 2 heures nous revivons grâce à l’énergie et l’humour de cette comédienne seule en scène un voyage de presque deux années.

Tous les voyageurs qui connaissent un peu ces pays ne pourront s’empêcher de rire aux larmes tant les traits décrits par Françoise sont merveilleusement soulignés avec bienveillance.

NICOLE

– Une belle découverte que ce « seule en scène ». Une randonnée pédestre qui va  mener Françoise DASQUE  d’Ardèche en  Chine, contée avec humour. Nous l’accompagnons pendant sa  traversée de plusieurs pays, en passant du rire à l’émotion. L’interprétation est de qualité. Son spectacle fait écho au vécu de chacun à travers ses récits de rencontres et d’expériences en tous genres. Un beau moment très réussi de partage autour du voyage et des rencontres. Dans la bonne humeur, car on y rit beaucoup !

BÉATRICE

– Ce spectacle vivant, nous entraîne en voyage et des images nous reviennent à l’esprit au fur et à mesure du récit.

Chaque scène nous étonne par son réalisme, par sa capacité à faire revivre nos ressentis au cours de nombreuses anecdotes.

Nos tripes parlent, nos émotions ressurgissent, le public est de ce fait très expressif pendant toute la durée du spectacle ; et c’est très chouette de vivre cette communion.

Françoise est une comédienne pleine de VIE, très souriante et dynamique sur scène.

Elle sait mettre en valeur la richesse des rencontres humaines, la beauté des échanges culturels.

Elle montre à quel point ce voyage est pour elle l’aboutissement d’un rêve mûri depuis de nombreuses années, et pour autant à quel point elle n’a jamais été vraiment préparée à vivre ce qu’elle va y vivre… On se reconnaît tous dans cette expérience !!

Elle sait transmettre au public que la confiance en soi et en l’autre (culturellement très éloigné) lui permet de vivre des moments improvisés de découvertes et de partages avec curiosité et enthousiasme.

A l’issue d’un tel moment de pur plaisir, pendant lequel les images ne sont pas projetées mais surgissent dans nos têtes, le public a vraiment envie de prolonger le partage avec Françoise, ce qui donne un débat abondant et riche.

Tous les âges apprécient et en redemandent, de 7 à 97 ans !!

Ce spectacle est une autre façon d’aborder le voyage ; il reste gravé dans nos mémoires à l’issue du festival.

Nous le recommandons à tous les programmateurs.

FRANÇOIS